Ishâq rencontre fortuitement une jeune femme. Il lui présente son cousin qui en tombe fou d’amour et l’épouse.

“Je quitte donc mon couffin et, accompagné par les servantes, à la lueur d’une chandelle, je descends dans la maison, où je trouve des salons, avec des tapis dont je n’avais vu les pareils qu’au palais du calife. Je prends place et, au bout d’un moment à peine, des tentures se relèvent, dans un coin du mur, pour laisser entrer une troupe d’esclaves musiciennes, tenant chandelles et brûle-parfum au bois d’aloès. Au milieu d’elles, une jeune femme aussi belle que lune à son lever.”