L’histoire commence avec un tireur qui abat un homme, pourtant entouré de gardes du corps. L’homme s’enfuit, mais il est blessé. Son sang, celui de la victime et la fumée de cigare se mêlent pour former un être cotonneux, qui semble gentil, mais qui est relativement étouffant. À partir de là, je crois que je n’ai pas très bien compris, ou alors, je cherche trop loin. L’absence de texte n’aidant pas, j’ai eu du mal à adhérer à ce récit, d’autant que le dessin est un peu trop brouillon à mon goût. Pas convaincue.

Prosopopée n. f.
Figure par laquelle l’orateur ou l’écrivain fait parler et agir une personne absente ou morte, un être inanimé, un animal.
Discours pompeux, véhément et emphatique.”