Une exposition d’abord. D’un côté les photos de Nathalie, des photos qui en contiennent chaque fois plusieurs, un travestissement qui permet de montrer une autre vérité, un autre angle. Des petits poèmes y sont associés, mots douceur, légers. De l’autre côté, des dessins de Sophie, troncs d’arbres, marguerites géantes, pluie. Tout en finesse à la mine de plomb ou à la pointe fine. Ces œuvres sont rassemblées dans un livre, petit souvenir de cette exposition.
“Les mots exposent
Les corps supposent
Quoi que l’on fasse
Les voix effleurent
ce que le cœur
Déplace”