Un homme riche perd sa fortune et va demander de l’aide à un ami qui lui prête de l’argent. Il peut ainsi ouvrir une boutique de bijoux. Arrivent trois personnes qui lui disent qu’il a hérité de son père et il redevient donc riche. Il veut rendre l’argent à son ami qui lui récite ce poème…

“Ces hommes que tu as vus, ces hommes de mon sang, c’étaient mon père, son frère et celui de ma mère, Sâlih b. ‘Alî.
Ce que je t’ai cédé venait de ma mère, et de moi-même l’argent et les bijoux.
Je n’ai pas cherché, ce faisant, à te rabaisser, mais, bien au contraire, à t’épargner les affres de l’humiliation.”