Al-Mutawakkil est malade et rien ne le guérit. Al-Fath b. Khâqân lui offre une esclave avec des potions. Il en boit et est guéri.

“Quand l’imam en aura fini avec les remèdes,
et recouvré santé et guérison,
Qu’il s’en tienne, pour toute médecine, à boire
de cette liqueur, en ce verre-là.
Qu’il brise ce cachet qui lui est réservé :
tous les remèdes pris, celui-ci est le bon.”