Un pèlerin rencontre une petite vieille qui vit seule au milieu de nulle part avec comme nourriture, des serpents, et comme boisson, une eau amère. Il lui demande pourquoi elle vit là. Elle lui rétorque que chez lui il y a peut-être des grandes maisons, de la bonne nourriture, des belles choses, mais qu’en contrepartie il y a aussi un pouvoir qui impose des décisions alors qu’elle est libre.

“Il n’est pas de pouvoir que le pouvoir de Dieu ne surpasse,
pas d’oppresseur qui échappe à l’épreucve d’un oppresseur.”