À part les Giardini et l’Arsenale où se concentrent les œuvres de la Biennale, il y a encore les Eventi Collaterali, collaterali juste parce qu’ils ne sont pas dans ces deux endroits. Trente-six pays et trente artistes sont encore exposées tout autour de la ville. Nous avons essayé d’en voir le plus possible, au fur et à mesure de nos déambulations mais il faudrait vraiment structurer cette visite-là aussi pour tout voir. Quelques belles rencontres : Lee Bae, un artiste coréen qui travaille avec du charbon, très impressionnant, que nous avions déjà croisé à la fondation Guimet à Paris et qui en plus, à Venise, était dans la cour de notre appartement. Yo Hong et Zeng Fanzhi, dont ce sont plutôt les lieux d’exposition qui nous ont fasciné, vieilles églises, magnifiques palais, ou encore le pavillon de la Bulgarie, un appartement datant de l’ère socialiste, sale, délabré. Tellement de belles choses à voir encore dans ces lieux disparates. A ne pas ignorer.
“The exhibition “La Maison de La Lune Brûlée” explores Lee Bae’s deep connection with Daljip Teugi, a century-old ritual synchronized with cyclical cosmology, intertwining folklore with contemporary art. It delves into humanity’s intrinsic connection with nature, advocating for a return to renewal and circularity.”