Un domaine de plus dans lequel les femmes sont ignorées. Des critères diagnostiques identiques pour les petits garçons, les petites filles, les hommes et les femmes. Or, ce trouble s’exprime différemment chez les femmes, un trouble qui est diagnostiqué tardivement et qui nous réduit donc à l’invisibilité. Une femme va essayer de se fondre dans la masse : collègue modèle, travail impeccable, agréable, empathique, invisible. Une femme trop normale jusqu’à s’oublier. Tout cela a un coût énorme : fatigue chronique, dépression, burn-out. Au moment du diagnostic, c’est une forme de libération : on se dit qu’on n’est pas folle, on reçoit les clés de sa vie. Mais, aussi le rejet pas l’entourage : tu n’as pas l’air autiste, t’es juste hypersensible… Pour finalement se poser la question : qu’est que je montre ? qu’est ce que je cache et oser faire un pas de côté vers soi-même. Un podcast qui résonne en moi et m’a arraché de belles larmes.

“Je ne suis pas moi, jamais moi, je m’épuise.”

“La solitude n’est pas un vide, c’est un cocon ou mon esprit peut danser sans entrave.”

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/grand-bien-vous-fasse/grand-bien-vous-fasse-du-lundi-02-juin-2025-8555803

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