Lors d’une partie de chasse, Anûshirwân demande à boire à une jeune fille qui lui fait un verre de jus avec une canne à sucre. Trouvant que l’impôt de ce village est bas pour un endroit où la canne donne tant de jus, il augmente les impôts. Quand il y retourne, la jeune fille met long à faire son jus et explique qu’elle a du presser trois cannes car, par analogie, quand les charges augmentent, la prospérité diminue.

“Anûshirwân sourit, abandonna le projet qu’il avait nourri pour ce village et épousa sur l’heure cette jeune fille qui l’avait stupéfait par son esprit, son intelligence et la qualité de ses propos.”