Dans ce tome 2, Jean-Eudes ne va pas beaucoup mieux. Il se considère toujours comme un artiste fini et décide de faire une pause avec la société en se faisant interner aux Petits Oiseaux Joyeux, clinique psychiatrique pour fous (gros & demi-gros). À la recherche effrénée de sa créativité, souvent sous l’emprise de drogues prescrites, il oscille entre superhéros et inepties fantaisistes pour finalement conclure qu’il allait accéder à la sérénité par la contemplation et non la création. Guéri, pas guéri, dur de savoir. Une bande dessinée aux styles mixtes, un peu déconcertante.

“Mon chaos intérieur est comme mon chat… il est toujours là, planqué dans un coin… mais dès qu’on a besoin de lui, impossible de le trouver… À la différence notable que mon chaos intérieur, lui, ne vomit pas des mulots prédigérés sur mon lit.”

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