Victor et Jeanne vont rendre visite à l’ex-prof de yoga de Jeanne qui habite dans une communauté qui occupe une zone à défendre sur laquelle est prévu un parc aquatique. Une communauté un peu bobo new-age. On y parle de lâcher prise, de maîtrise du flux de ces règles, d’ailleurs célébrées par une chanson “J’aime mes règles”, de liberté individuelle et de rejet de la société moderne surnommée Babylone. Un jour, ils se rendent compte que tout le monde en dehors de la communauté a été décimé par une pandémie et qu’ils sont les seuls survivants. Petit à petit, de petits conflits émergent, plusieurs veulent être chef, certains en jalousent d’autres. La belle communauté n’est plus aussi parfaite et féérique. C’est drôle et bien satyrique.

“- Y’a plus personne sur Twitter ! Ceux qui restent, ils ne font que parler de pain de mie… pain de mie… ça me fait chier. Pain de mie chimique, pain de mie chimique. En plus, regarde comment ils écrivent “pain de mie”. Ils font même des fautes d’orthographe sur Twitter. C’est clair que c’est chimique le pain de mie sinon dans ce cas-là, on ne mange plus rien !
Attends… Pandémie… c’est pas “pain de mie”, c’est pandémie !!!!! C’est une putain de pandémie !!!!! T’es débile toi en fait… elle est débile elle !”

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