Londres XXIe siècle. Une série d’attentat toujours avec les mêmes bombes antipersonnel visant les cadres de la société qui les commercialise. Tout émane du “Shi”, une organisation terroriste de mères vengeresses. Londres, fin du XIXe siècle. Une loge secrète, des parties fines de hauts dignitaires, une série de daguerréotypes compromettants et… la Reine Victoria. Toujours sous l’emprise des hommes, Jay et Kita arrivent à s’échapper puis à éviter l’affreux chef de la police, le commissaire Kurb, et à ne pas brûler vives dans une maison en flamme. Les images sont toujours aussi belles, l’histoire un peu difficile à suivre.
“Londres à cette époque était une demi-mondaine. Une goulue, une ogresse… faisant son lit du pillage de ses lointaines colonies… et de la misère du peuple. Une demi-mondaine, oui, voilà ! Tout maquillage et toutes minauderies au-dessus… mais vérolée en-dessous ! Cruelle loterie que celle du berceau ! Tu naissais avec une cuillère en argent dans la bouche… ou tu finissais avec autre chose dans le fondement.”
