En prenant le problème par l’autre bout, l’auteur nous explique comment méthodiquement rechercher notre propre malheur. Quelques petites leçons pour bien apprendre à se déprécier : “Pourquoi m’aimerait-on ?”, “Quatre façons de jouer avec le passé” ou “Je l’avais bien dit !”. Tous ces comportements que nous avons tous et qui nous font creuser tout doucement nos propres ornières de désespoir et s’y enliser avec application. Pas toujours facile de suivre les raisonnements, mais c’est drôle, un peu fourbe et je crois que tout un chacun doit arriver à se reconnaître dans une partie de ces pages.

“On dispose d’exemples plus pratiques qui nous sont fournis par le cas de ces femmes, presque toujours intelligentes, responsables et prêtes au sacrifice, qu’anime la tentation fatale de racheter quelque alcoolique, joueur et autre délinquant par le suave pouvoir de leur amour et qui, jusqu’à la fin généralement tragique, réagissent au comportement immuable de l’homme sur lequel elles ont jeté leur dévolu par un surcroît d’amour, de compréhension et d’assistance.”

Traduit de l’anglais

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