Margaret est en vacances au cœur de la Corrèze. Elle tombe sur une maison avec un parc magnifique, remplit de roses. Curieuse, elle frappe à la porte et est accueillie par Sylvie. Les deux femmes se lient d’amitié et Sylvie raconte sa vie qui tourne autour de son amour pour Jack. Comment elle l’a connu, adolescente, comment elle l’a croisé par hasard des années plus tard en France dans son village, mais que tous deux sont mariés, comment ils se retrouvent, se rejettent, se retrouvent. Sylvie parle longuement pendant plusieurs après-midis et soirées, Jack devrait rentrer d’un instant à l’autre, mais Margaret ne le voit jamais. Et puis, un jour, Sylvie ne répond pas à la porte… Un roman à l’eau de roses, c’est le cas de le dire. Ça se lit, mais c’est sans surprise.

“Sylvie, ne gâche pas ces heures qui n’appartiennent qu’à nous. Écoute la pluie ! Nous irons nous promener dans la campagne après le repas. La terre gorgée d’eau sentira bon, les fleurs aussi. N’aie pas peur de la vie, de l’avenir, n’aie pas peur de toi-même, de ce que tu ne comprends pas en toi ! Rien n’est irrémédiable si ce n’est la mort…”