JCVD rencontre des difficultés, de carrière, de garde d’enfant, d’argent. Il rentre chez lui en Belgique et, ses cartes ne fonctionnant pas, il trouve une poste dans laquelle il aimerait retirer de l’argent. Hélas cette poste est en plein vol à main armée et il rejoint les autres otages. Un policier qui le voit à travers la vitre pense que c’est lui l’instigateur et les trois malfrats en prennent parti, laissant JCVD faire les transactions de libération des otages avec la police. JCVD leur donne des petits trucs qu’il a appris dans les films, en profite pour faire virer par la police l’argent qu’il doit à son avocat. La prise d’otage et la demande de rançon vont finalement capoter, mais JCVD sera emprisonné pour extorsion. Un film qui rend perplexe avec ce Jean-Claude Van Damme qui joue JCVD, qui se retrouve fasse à lui-même et à son image dans les médias. On dirait qu’il y a du deuxième degré, mais JCVD sait-il faire du deuxième degré ? Hormis l’image traitée bizarrement, c’est un film entre comédie et violence qui se regarde un soir de week-end.

“- Can the producers advance me some money ?
– Listen Jean-Claude. I was gonna call you… right after your vacation was over. They took somebody else.
– Who?
– Steven.
– Steven ?
– He promised to cut off his ponytail. I know it hurts, I know.”

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