Le troisième volume de Dedalus, un livre à succès, vient d’être publié. Eric Angstrom, l’éditeur, veut le faire traduire simultanément par neuf traducteurs, enfermés dans un bunker sous un luxueux château, afin qu’il n’y ait pas de fuite. Voilà pour le huis clos. Bien sûr, il y a une fuite, et tout s’écroule à partir de ce moment-là. Quelques retours dans le passé et des incursions dans le futur permettent peu à peu de reconstituer l’histoire et ses nombreux rebondissements. C’est une belle intrigue bien ficelée, avec Lambert Wilson dans le rôle de l’éditeur hystérique et Alex Lawther, le jeune homme de “The End of the F***ing World”, qui tient un rôle central et que j’aime beaucoup.

“De la page jaillit la connaissance. Inter foglia fulget.”

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