L’écrivain prend quelques jours de repos au Palace de Verbier. L’écrivain ? Ce n’est autre que Joël Dicker, dans son propre rôle. Il rencontre Scarlett, qui loge dans la chambre voisine, au numéro 621bis. 621bis ? Le numéro de la chambre les intrigue et ils décident ensemble d’en découvrir la raison, alors que tout le monde garde le silence sur cette affaire. Ils se rendent vite compte qu’il y a eu un meurtre dans cette pièce, et l’histoire nous fait remonter le temps jusqu’à la vie des pontes de la banque Ebezner. L’intrigue suit plusieurs espaces temporels qui s’entremêlent avec le présent et tiennent le lecteur en haleine, car s’il y a bien eu un meurtre, le mort et le meurtrier sont tenus très secrets jusqu’à la fin du livre. Un produit commercial peut-être, un peu léger, mais j’ai pris beaucoup de plaisir à le lire.
“- Savez-vous pourquoi l’amour est un jeu si compliqué?
– Non, Monsieur
– Parce que l’amour n’existe pas. C’est un mirage, une conception de l’esprit. Ou alors, si vous préférez, l’amour n’existe potentiellement que s’il ne se concrétise pas. Il est une émanation de l’esprit, fait d’espoir, d’attente et de projections.”
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