Cette immensité, l’océan. Septante-et-un pourcents de la surface de la Terre. Les océans absorbent du CO2, régulent la température, regorgent des ressources. Comment préserver les richesses des grands fonds, respecter l’intelligence et la sensibilité de la faune, qui est touchée par l’acidification de l’eau, les déchets plastiques et le bruit. Et se souvenir que ces océans sont vivants et peuvent donc mourir. Et pour finir, le son de l’océan, des crustacés. Vraiment intéressant.

“J’ai eu coutume de dire, “Le monde du silence”, faut, voilà, on sait maintenant que c’était faux parce qu’on n’avait pas à ce moment-là la façon de mesurer les sons au niveau de l’océan. D’ailleurs une très très belle étude qui est sortie sur le son que pouvaient générer les poissons en période de confinement et pas en période de confinement. Et en fait, ils se sont aperçus que, en période de confinement, les sons générés par les poissons étaient à des volumes qui étaient bien inférieurs, parce que quand y’a pas de confinement, qu’il y a trop de bruit au niveau côtier, en fait, ils sont obligés de crier pour se parler.”

Cinq épisodes d’environ 10 minutes chacun

Épisode 1. Plongeon dans les grands fonds, avec Roberto Danovaro
Épisode 2. Dans les yeux d’une seiche, avec Laure Bonnaud-Ponticelli
Épisode 3. Des océans sous acide, par Sam Dupont
Épisode 4. L’homme qui aimait la mer, avec Haïdar El Ali
Épisode 5. L’océan n’est pas le monde du silence, par Maxime Dangles

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