Nous retrouvons Max avec le Manchot, qui est donc son père. Tous deux cherchent Baïa, surtout Max, et à se faire une identité anonyme, surtout le Manchot. On comprend maintenant que le Manchot pilotait l’avion dans lequel il y avait la fille d’Hermann, actuellement mourant, et le trésor, que Max et le Manchot ont récupéré. Quelques morts qui finissent aux crocodiles et un peu de voyance magique, mais une fin qui n’en est toujours pas une. Patience donc.

“- Je sais… Mais le corps de ma fille est quelque part dans cette jungle et je sais aussi qu’elle n’est pas en paix… J’imagine que ça doit vous sembler étrange qu’un homme comme moi tienne de tels propos…
– Non, je… je ne sais pas…
– Il y a dans ces territoires des choses qui nous dépassent, mademoiselle, et que nous détruisons… J’ai eu ma part, évidemment… je n’ai jamais été un ange, mais… mais j’ai acquis la certitude que l’âme de ma fille est en souffrance et que seul un rituel karawara pourra l’apaiser…
– … karawara ?
– Ce sont les esprits de la forêt. Les gens d’ici y croient dur comme fer… et moi aussi.”